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dc.contributor.authorMontes Villar, María Luisa 
dc.date.accessioned2025-01-21T08:07:39Z
dc.date.available2025-01-21T08:07:39Z
dc.date.issued2024-11
dc.identifier.issnISSN-e 1699-4949
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10481/99780
dc.description.abstractEn el marco de la novela poscolonial, las expresiones relacionadas con el desplazamiento adquieren una dimensión preponderante al dibujar espacios geográficos, temporales y simbólicos transicionales y de paso, así como al describir y delimitar la posición del colonizador en relación con la del colonizado. Esta división espaciotemporal revela una alteridad espacial que se manifiesta de manera notable en la novela de la escritora marfileña Tanella Boni Les nègres n’iront jamais au paradis (Le Serpent à plumes, 2006). En nuestra contribución, analizamos nociones como el «ailleurs» y el «nulle part» a la luz de los estudios poscoloniales, en particular de los trabajos llevados a cabo por Jean-Marc Moura (1992, 1998a, 1998b), y de la percepción fenomenológica del espacio.es_ES
dc.description.abstractDans le cadre du roman postcolonial, les expressions liées au déplacement revêtent une importance centrale, esquissant des espaces géographiques, temporels et symboliques transitionnels et de passage ainsi que décrivant et délimitant la place du colonisateur par rapport à celle du colonisé. Cette division spatio temporelle met en évidence une altérité spatiale perceptible dans le roman de l’écrivaine ivoirienne Tanella Boni Les nègres n’iront jamais au paradis (Le Serpent à plumes, 2006). Dans notre analyse, nous étudions des notions telles que « l’ailleurs » et « le nulle part » à l’aune des études postcoloniales, notamment des travaux menés par Jean-Marc Moura (1992, 1998a, 1998b), ainsi que sous l’angle de la perception phénoménologique de l’espace.es_ES
dc.description.abstractIn the postcolonial novel, expressions linked to displacement take on a predominant dimension. On the one hand, they sketch out transitional and passing geographical, temporal and symbolic spaces. On the other, they describe and delimit the place of the coloniser in relation to that of the colonised. This spatio-temporal division highlights a spatial otherness that emerges acutely in the novel Les nègres n’iront jamais au paradis (Le Serpent à plumes, 2006), by the Ivorian writer Tanella Boni. This contribution analyses notions such as «l’ailleurs» (‘elsewhere’) and «le nulle part» (‘nowhere’) in the light of postcolonial studies, in particular the work of Jean-Marc Moura (1992, 1998a, 1998b), and the phenomenological perception of space.es_ES
dc.language.isofraes_ES
dc.publisherÇedille. Revista de estudios franceses.es_ES
dc.rightsAttribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 Internacional*
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/*
dc.titleAltérités spatiales dans le roman postcolonial: « l’ailleurs » et « le nulle part » dans Les nègres n’iront jamais au Paradis de Tanella Bonies_ES
dc.typejournal articlees_ES
dc.rights.accessRightsopen accesses_ES


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