Gestational Diabetes Mellitus: from classic to new risk factors. The role of physical activity behaviour and Persistent Organics Pollutants
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Kouiti, MalakEditorial
Universidad de Granada
Departamento
Universidad de Granada. Programa de Doctorado en Medicina Clínica y Salud PúblicaFecha
2024Fecha lectura
2024-09-20Referencia bibliográfica
Malak Kouiti. Gestational Diabetes Mellitus: from classic to new risk factors. The role of physical activity behaviour and Persistent Organics Pollutants. Granada: Universidad de Granada, 2024. [https://hdl.handle.net/10481/97605]
Patrocinador
Tesis Univ. Granada.; Hassan first University of Settat; Center for Development Cooperation Initiatives (CICODE) in the framework of the UGR Development Cooperation Fund; UGR international mobility program for doctoral students in the framework of the Erasmus+ scholarshipsResumen
Introduction. Gestational diabetes mellitus (GDM) is a public health problem
due to being the most common metabolic disorder during pregnancy and being
associated with a number of long- and short-term health consequences for both
mother and child. Although several epidemiological studies aimed to analyse and
investigate associated factors to GDM, such as lifestyle, the results are not
constantly consistent. Furthermore, as a multifactorial disease, other determinants
like environmental pollution, and in particular exposure to endocrine disruptors
such as persistent organic pollutants (POPs), may also increase prevalence of
GDM.
Objectives. The research carried out in this thesis aims to:
1) Evaluate the effects of dietary and/or physical activity interventions
during pregnancy to prevent GDM.
2) Estimate the effect of replacing 1 hour per week of watching TV with 1
hour per week of light to moderate or vigorous physical activity before
and during pregnancy on the risk of GDM.
3) Estimate the strength of the association between the exposure to POPs
and GDM.
Methods. Different types of epidemiological studies were conducted to answer
these questions. 1) An umbrella review including systematic reviews of
randomised clinical trials that analyse the effects of physical activity and dietary
interventions before and during pregnancy. 2) The isotemporal substitution model
was used to calculate the effect of replacing 1 hour/week of watching TV with the
same duration of physical activity on a case-control study involving 290 women
with GDM (cases) and 1175 healthy women (controls). And 3) A systematic review
with meta-analysis of observational studies that analyse the association between
the exposure to POPs measured early in the pregnancy and the risk of GDM.
Results. Physical activity and dietary interventions may reduce the risk of
developing GDM when provided separately. However, combined intervention involving both physical activity and diet do not seem to significantly reduce the
risk of GDM.
On the other hand, the pregnant women in our case-control study have a high
level of sedentary behaviour. The incidence of GDM was higher in women who
spend more time watching TV and did less physically active during pregnancy.
Finding obtained using the isotemporal substitution model showed that pregnant
women would reduce the risk of GDM to 34% simply by replacing one hour per
week of watching TV with one hour per week of pregnancy-appropriate vigorous
physical activity.
Regarding the association between the exposure to POPs and the risk of GDM,
our results showed a small mean difference was observed for PFHpA 0.26 (95%
CI 0.17 to 0.35, I2=0.0%), PCB180 0.37 (95% CI 0.19 to 0.56; I2=25.3%), BDE47
0.23 (95% CI, 0.0 to 0.45, I2=0%), BDE99 0.36 (95% CI 0.14 to 0.59; I2=0%),
BDE100 0.42 (95% CI 0.19 to 0.64; I2=0%) and (HCB) 0.22 (95% CI 0.01to 0.42,
I2=39.6%). No considerable difference was observed for the rest of POPs.
Conclusion. GDM is a multifactorial disease associated with several health
determinants. Simple lifestyle changes, such as replacing one hour per week of
watching TV with one hour per week of vigorous physical activity, would reduce
the risk of GDM. Other factors, such as the exposure to some POPs, may increase
the risk of GDM. However, evidence show mostly moderate quality and results
were heterogeneous to establish a clear association for POPs. Improving the
methodology is needed to assess POPs and GDM risk. Introduction. Le diabète gestationnel (DG) est un problème de santé publique.
C’est la maladie métabolique la plus fréquente pendant la grossesse. Le DG a été
associer aux plusieurs complications de santé chez la mère et l'enfant, à court y
long terme. Bien que de nombreuses études épidémiologiques s'intéressent à
analyser les différents facteurs responsables d’augmenter l'incidence du DG, tels
que le mode de vie, les résultats ne sont pas toujours cohérents. En outre, comme
il s'agit d'une maladie multifactorielle, d'autres déterminants de santé tels que la
pollution environnementale et en particulier l'exposition à des perturbateurs
endocriniens comme les polluants organiques persistants (POPs) peuvent
également augmenter le risque de DG.
Objectifs. A travers des travaux de recherche menés dans le cadre de cette thèse
doctoral, nous visons à :
1) Évaluer les effets des interventions basés sur le régime alimentaire et/ou
l’activité physique pendant la grossesse pour prévenir le DG.
2) Estimer l'effet de remplacer une heure hebdomadaire de télévision par une
heure hebdomadaire d'activité physique légère à modérée ou vigoureuse
avant et pendant la grossesse sur le risque de DG.
3) Estimer la magnitude l'association entre l'exposition aux POPs et le DG.
Méthodes. Pour répondre à ces questions, différents types d'études
épidémiologiques ont été menés. 1) Une revue umbrella des revues systématiques
menées avec des essais cliniques randomisés analysant l'effet des interventions
basées sur l'activité physique et le régime alimentaire avant et pendant la grossesse.
2) Le modèle de substitution isotemporelle a été utilisé pour calculer l'effet du
remplacement d'une heure/semaine passée devant la télévision par la même durée
d'activité physique dans une étude de cas-témoins portant sur 290 femmes
atteintes de DG (cas) et 1 175 femmes en bonne santé (témoins). Et 3) Une revue
systématique avec méta-analyse d'études observationnelles examinant l'association
entre l'exposition aux POPs mesurée au début de la grossesse et le développement
de DG. Résultats. Les interventions basées sur l'activité physique et le régime alimentaire
peuvent réduire le risque de DG lorsqu'elles sont menées séparément. Cependant,
les interventions combinant activité physique et régime alimentaire ne semblent
pas réduire de manière significative le risque de DG.
D'autre part, les femmes enceintes de notre étude cas-témoins se caractérisent par
un niveau élevé de sédentarité. Les femmes qui passent plus de temps à regarder
la télévision et moins de temps à être physiquement actives ont tendance à avoir
un risque plus élevé de développer le DG. Les résultats obtenus à l'aide d'un
modèle d'analyse isotemporelle montrent que les femmes enceintes peuvent
réduire le risque de DG de 34 % simplement en remplaçant une heure par semaine
passée devant la télévision par une heure par semaine d'activité physique
vigoureuse approprié.
Quant aux résultats relatifs à l'exposition aux POPs en tant que facteur de risque
de DG. Nos résultats montrent une petite variance dans la concentration du
PFHpA 0.26 (95% CI 0.17 to 0.35, I2=0.0%), PCB180 0.37 (95% CI 0.19 to 0.56;
I2=25.3%), BDE47 0.23 (95% CI, 0.0 to 0.45, I2=0%), BDE99 0.36 (95% CI 0.14
to 0.59; I2=0%), BDE100 0.42 (95% CI 0.19 to 0.64; I2=0%) et (HCB) 0.22 (95%
CI 0.01to 0.42, I2=39.6%) entre les cas de DG et le groupe control concernant.
Aucune différence considérable n'a été observée pour les autres POP.
Conclusion. Le DG est une maladie multifactorielle liée à différents déterminants
de la santé. De simples changements de mode de vie, tels que le remplacement
d'une heure de télévision hebdomadaire par une activité physique rigoureuse,
peuvent réduire le risque de la maladie. En outre, l’exposition à certains POPs
peuvent augmenter le risque de DG. Cependant, les preuves scientifiques sont
pour la plupart de qualité moyenne et les résultats sont hétérogènes, ce qui ne
permet pas d'établir un lien clair avec les POP. Il est nécessaire d'améliorer la
méthodologie pour évaluer l’association entre l’éxpositio aux POPs et le risque de
diabète gestationnel. Introducción. La Diabetes Gestacional (DG) es un problema de salud pública
por ser la enfermedad metabólica más frecuente durante el embarazo, y por ser
responsable de la aparición de deferentes condiciones en la salud de la madre y el
niño a largo y corto plazo, como las la diabetes tipo 2, las enfermedades
cardiovasculares y los traumas en el momento del parto. A pesar de que muchos
estudios epidemiológicos se interesaron a analizar y estudiar los diferentes factores
responsables del aumento de la incidencia de DG como el estilo de vida, los
resultados no son siempre consistentes. Además, debido que es una enfermedad
multifactorial, otros determinantes como la contaminación ambiental y
especialmente la exposición a distruptores endocrinos como los Contaminantes
Orgánicos Persistentes (COPs) pueden ser responsable también del aumento de
la prevalencia de la DG.
Objetivos. A través de los trabajos de investigación realizado en esta tesis doctoral
se pretende:
1) Evaluar los efectos de las intervenciones de dieta y/o actividad física
durante el embarazo para prevenir la DG.
2) Estimar el efecto de reemplazar 1 hora por semana de ver televisión con 1
hora por semana de actividad física ligera a moderada o vigorosa antes y
durante el embarazo sobre el riesgo de DG.
3) Estimar la fuerza de la asociación entre la exposición a COP y DMG en
una revisión sistemática con meta-análisis
Métodos. Para responder a estas preguntas, diferentes tipos de estudios
epidemiológicos se llevaron a cabo. 1) Una revisión umbrella de revisiones
sistemáticas realizadas con ensayos clínicos aleatorizados que analizan el efecto de
intervenciones basadas en la actividad física y la dieta antes y durante el embarazo.
2) Se utilizó el modelo de sustitución isotemporal para calcular el efecto de sustituir
1 hora/semana de ver la televisión por la misma duración de actividad física sobre
en un estudio de caso-control que incluye 290 mujeres con DG (casos) y 1175
mujeres sanas (controles). Y 3) Una revisión sistemática con meta-análisis de estudios observacionales que analizan la asociación entre la exposición a COPs
medida al principio del embarazo y el desarrollo de la DG.
Resultados. Las intervenciones basadas en la actividad física y la dieta pueden
reducir el riesgo de padecer la DG cuando se realizan de forma separada. Sin
embargo, las intervenciones combinadas de actividad física y dieta no parecen
reducir el riesgo de desarrollar la DG de forma destacable.
Por otro lado, las mujeres embarazadas de nuestro estudio de caso-control se
caracterizan con alto nivel de sedentarismo. Las mujeres que pasan más tiempo
viendo la televisión y menos tiempo realizando actividad física tienden a tener más
riesgo de desarrollar la DG. Los resultados obtenidos mediante el modelo de
análisis isotemporal mostraron que las mujeres embarazadas pueden reducir hasta
34% su riesgo de DG, simplemente reemplazando una hora por semana de
televisión por una hora por semana de actividad física vigorosa apropiada al
embarazo.
En cuanto a los resultados relacionados con la exposición a COPs como factor de
riesgo de la DG. Nuestros hallazgos mostraron una pequeña varianza en la
concentración del PFHpA 0.26 (95% CI 0.17 to 0.35, I2=0.0%), PCB180 0.37
(95% CI 0.19 to 0.56; I2=25.3%), BDE47 0.23 (95% CI, 0.0 to 0.45, I2=0%),
BDE99 0.36 (95% CI 0.14 to 0.59; I2=0%), BDE100 0.42 (95% CI 0.19 to 0.64;
I2=0%) et (HCB) 0.22 (95% CI 0.01to 0.42, I2=39.6%) entre los casos de DG y
el grupo control. No se observaron diferencias considerables para el resto de los
COPs. Sin embargo, la evidencia actual no parece lo suficientemente sólida como
para sacar conclusiones firmes.
Conclusión. La DG es una enfermedad multifactorial relacionada con diferentes
determinantes de salud. Simples cambios en el estilo de vida como el hecho de
reemplazar una hora semanal de ver la televisión con una actividad física rigurosa
puede reducir el riesgo de esta enfermedad. Otros factores como la exposición a
algunos COPs pueden aumentar el riesgo de la DG. Sin embargo, la evidencia
científica muestra en su mayoría una calidad moderada y los resultados fueron
heterogéneos para establecer una asociación clara para los COPs. Es necesario
mejorar la metodología para evaluar los COPs y el riesgo de DMG.
INTRODUCTION