Écrire l’amertume des femmes algériennes dans "La prière de la peur" (1997) de Latifa Ben Mansour
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URI: https://hdl.handle.net/10481/101027Metadata
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Nadim Nadim, LoubnaDate
2022Referencia bibliográfica
Nadim, L. (2022). Écrire l’amertume des femmes algériennes dans "La prière de la peur" (1997) de Latifa Ben Mansour. Synergies Espagne, 15, 205-219
Abstract
Latifa Ben Mansour (1950-) es una novelista argelina que expone los episodios dramáticos del país que datan desde la época colonial hasta las décadas negras. En su obra La prière de la peur, muestra los abusos sufridos por las mujeres argelinas: exclusión sociocultural e inaccesibilidad a política. La marginación de todos los ámbitos de la vida estimula la necesidad de tomar la pluma para trasponer las múltiples discriminaciones relativas a su condición femenina. Dichos problemas se intensifican aún más en tiempos de turbulencias. La mujer argelina, por antono- masia, está sujeta a un código de conducta obsoleto, que incita a la novelista a rebelarse a través de la escritura contra el silencio y la indiferencia que reinan en Argelia. Latifa Ben Mansour (1950-) est une romancière algérienne qui expose les épisodes dramatiques du pays qui datent de l’époque coloniale aux décennies noires. Dans son œuvre, La prière de la peur, elle aborde les abus qu’endurent les femmes algériennes : l’exclusion socioculturelle, l’inaccessibilité à la politique. La margina- lisation de toutes les sphères de la vie stimule le besoin de prendre la plume dans le but de transposer les multiples discriminations relatives à leur condition féminine. Ces problèmes sont d’autant plus intensifiés dans les époques de turbulences. La femme algérienne, par excellence, est assujettie à un code de conduite obsolète, ce qui incite la romancière à se révolter à travers l’écriture contre le mutisme et l’indifférence qui règnent en Algérie.